Si vous découvrez le sujet, vous pouvez commencer par lire notre article « Qu’est-ce qu’une dataroom sécurisée ? » pour bien comprendre les fondamentaux.

Une dataroom sécurisée est un espace numérique conçu pour protéger, organiser et tracer l’accès à des documents confidentiels. Mais son utilité va bien au-delà des fusions-acquisitions.

Aujourd’hui, les PME, ETI, collectivités locales, organismes de santé, acteurs de la tech ou de l’industrie adoptent des datarooms pour répondre à des besoins très concrets : audits internes, projets sensibles, conformité RGPD, appels d’offres, ou encore protection des données RH.

10 cas d’usage détaillés pour comprendre dans quels contextes la dataroom est une vraie solution métier.

Cas d’usage n°1 : Préparer un audit interne, qualité ou conformité

Dans l’industrie, la santé, l’agroalimentaire ou encore le secteur associatif, les audits sont fréquents : certification ISO 9001 ou 27001, audits HSE, vérifications RGPD, contrôles finance ou conformité.

Les équipes qualité ou conformité (responsables QSE, DPO, RSSI…) doivent pouvoir centraliser tous les documents de preuve : politiques internes, registres, preuves de contrôles, rapports, procédures.

📌 La dataroom permet ainsi de :

Cas d’usage n°2 : Répondre à un appel d’offres public ou privé

Dans les secteurs du BTP, des services, de l’ingénierie, du numérique ou du conseil, les entreprises doivent souvent monter des dossiers de réponse à appel d’offres contenant des éléments sensibles : prix, dossiers techniques, preuves de capacité, certifications.

Par conséquent, plusieurs parties prenantes sont mobilisées :

En d’autres termes, la dataroom offre :

 

Cas d’usage n°3 : Partager des documents sensibles avec des partenaires externes

Que ce soit dans le cas d’usage d’une dataroom d’un partenariat stratégique, d’une mission d’audit ou d’un accompagnement juridique, il est courant de devoir transmettre des documents critiques à des tiers : avocats, investisseurs, experts-comptables, auditeurs, cabinets de conseil…

Les risques ? Envoi de fichiers non maîtrisé, perte de trace, mauvaise version, accès prolongé…

🛡️ Grâce à la dataroom, les services juridiques, financiers ou dirigeants peuvent :

 

Cas d’usage n°4 : Gérer une opération de fusion, acquisition ou cession

C’est le cas d’usage “historique” de la dataroom, et il reste d’actualité dans les contextes de cession d’activité, levée de fonds, fusion entre entités ou restructuration.

Les acteurs concernés :

La dataroom permet de :

 

Cas d’usage n°5 : Centraliser et sécuriser les dossiers RH sensibles

Les données RH font partie des informations les plus sensibles de l’entreprise : bulletins de paie, contrats, bilans sociaux, plans de licenciement, enquêtes internes…

Dans les PME ou ETI, les responsables RH et la direction peuvent utiliser la dataroom pour :

 

Cas d’usage n°6 : Structurer un projet stratégique ou confidentiel

Qu’il s’agisse d’un plan de transformation, d’un changement de gouvernance, d’un projet sensible avec impact social, il est essentiel de structurer la documentation et les accès.

Exemple : une collectivité prépare une mutualisation de services → DG, DGS, DRH, élus et prestataires doivent partager des documents confidentiels.

Pour cette raison, la dataroom permet :

 

Cas d’usage n°7 : Piloter un projet d’innovation ou de R&D

Dans la tech, la pharma, l’aéronautique ou la santé, les projets d’innovation génèrent des documents à haute valeur ajoutée : résultats de tests, prototypes, brevets, notes de recherche, accords de confidentialité (NDA), rapports techniques…

La dataroom permet aux équipes projet et, également, aux partenaires (startups, labos, industriels) de :

 

Cas d’usage n°8 : Gérer un contentieux ou une enquête interne

En cas de litige, de contrôle judiciaire ou d’enquête en interne (fraude, harcèlement…), la dataroom peut devenir un outil de rigueur :

Acteurs impliqués : direction juridique, RH, auditeur externe, avocat, enquêteur indépendant.

Les documents sont centralisés, l’accès est limité aux seules personnes autorisées, et chaque ouverture ou téléchargement est également enregistré. De surcroît, vous montrez que vous traitez le sujet avec sérieux et transparence, tout en protégeant les données.

 

Cas d’usage n°9 : Préparer une levée de fonds ou l’entrée d’un nouvel actionnaire

Startups, PME en croissance, entreprises en recherche de capital : les investisseurs demandent des informations détaillées et souvent confidentielles.

Grâce à la dataroom, vous pouvez :

Cas d’usage n°10 : Accompagner une transformation numérique dans le secteur public

Les établissements publics, mairies ou agences régionales mènent des projets sensibles (transition numérique, schémas directeurs, audit de gouvernance, projets inter-services…).

Le rôle de la dataroom est ainsi de :

 

En résumé : un outil stratégique au service de toutes les fonctions

Les cas d’usage d’une dataroom sont nombreux, concrets et transverses. Que vous soyez dans le privé ou le public, que vous gériez des projets financiers, RH, techniques, juridiques ou réglementaires, la dataroom vous permet de travailler en toute confiance, avec un niveau de sécurité et de contrôle inégalé.

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